Depuis le début de la crise sanitaire, les médecins sont les premiers sur le devant de la scène. Mais, les autorités ont privé ceux-ci de 350 mille vaccins. Une situation qu’on vous expliquera dans cet article.
Un changement de décision
La totalité des vaccins était normalement prévue pour les médecins, qui feront les injections. Au grand damne des médecins, le gouvernement a décidé de les attribuer aux pharmaciens. Les autorités ont informé que le laboratoire AstraZeneca ne pourra pas livrer une grande quantité de vaccin la semaine prochaine et que la totalité des 350 000 vaccins qui seront livrés sera envoyée aux pharmaciens. Ils ont ajouté que s’il y avait plus de doses, les médecins en recevraient aussi. Mais ce n’est pas le cas. Donc ils devront attendre une autre livraison.
L’annonce de la décision
Depuis le 25 février passé, les Français ont la possibilité de se faire vacciner chez leur médecin, grâce au stock de 1,6 million du vaccin d’AstraZeneca, dont la totalité n’a pas encore été livrée. Les rendez-vous étaient donc pris pour que la vaccination continue sur des semaines chez les médecins. Mais, le dimanche 7 mars dernier, les médecins ont reçu un mail expliquant que la prochaine livraison de vaccin est destinée aux pharmaciens. Une décision qui n’a évidemment pas plu à ceux-ci, car les vaccins étaient censés leur être réservés.
La réaction des médecins
Face à cette décision qui ne les arrange pas du tout, les médecins ont fait éclater leur colère. Une colère nourrie par le fait que ces médecins avaient déjà des rendez-vous avec leurs patients pour que ceux-ci reçoivent leur dose, lesquels devront être retardé d’une semaine. Les syndicats et l’ordre des médecins ont aussi réagi violemment à cause de cette annonce.
Voilà le résumé des différentes réactions qui ont été remarquées après ce changement, de quoi comprendre ce qui a déclenché la colère des médecins.