Il est éternellement impossible de prédire le moment où une femme doit entrer en ménopause. Même avoir eu ou non des enfants ou une puberté précoce n’en dit rien. Voici quelques conseils pour vous accompagner dans cette période charnière.
Soigner la sécheresse vaginale
L’insuffisance d’œstrogènes rend la paroi vaginale plus fine et plus sensible. C’est la source. Cela rend les rapports sexuels douloureux. Pour le traiter, il faut consulter un gynécologue. Il peut alors soumettre la patiente à un traitement local à base d’œstrogènes sous la forme d’ovule, ou de crème à utiliser deux ou trois fois par semaine. Les femmes qui ont été souffrantes d’un cancer ont la facilité de l’utiliser sans aucun risque puisque le passage dans le sang est très restreint. Ce traitement permet à l’épithélium vaginal d’avoir plus d’épaisseur. Le trait remet en fonction des défenses naturelles contre les mycoses. Le traitement peut également être fait à base des lubrifiants. L’effet des lubrifiants est néanmoins ponctuel.
accepter la contingence
La ménopause entre 41 et 58 ans est une situation normale. La ménopause nécessite un traitement hormonal substitutif en prévention des maladies cardiovasculaires et de l’ostéoporose lorsqu’elle est dite précoce c’est-à-dire une ménopause avant 41 ans. Il est à noter que le tabagisme à tendance à faire avancer l’âge de la ménopause d’un ou deux ans. Ceci étant, l’obésité à son tour recule l’âge de la ménopause. Par ailleurs, une ménopause observée tardivement, c’est-à-dire après 55 ans nécessite un suivi gynécologique. En effet le contraint de cancer de sein subit une augmentation légère du fait que l’exposition hormonale sera prolongée.
renoncer au dosage hormonal
Il n’est pas important de faire un dosage sanguin dans la période de la préménopause. Le mode de traitement le plus fiable est l’examen clinique. Même si on constate une présence ou non des symptômes de la ménopause et arrêt des règles ou pas.